À travers l’adoption de ses projets de service (ASE, PMI, DEJ, SPAS…) l’administration opte pour un service public rabougri. Les contraintes budgétaires, les postes laissés vacants, l’absence de création de postes (sauf par redéploiements) auxquels s’ajoutent, dans certains secteurs, les difficultés de recrutements se traduisent par l’abandon de prestations et de services à la population alors que les besoins se font de plus en plus criants. Les agents sont contraints de s’adapter à une nouvelle organisation du travail, subissent des glissements de tâches pour palier les manques d’effectifs et à l’abandon de missions. En CTP, la CGT a voté contre ces projets de services.